LA BANQUE POPULAIRE DU NORD ORGANISE LES 1ÈRES RENCONTRES RÉGIONALES TECHNOLOGIES ET INNOVATIONS

Le 17 novembre à Euratechnologies,un évènement dédié à la sécurité bancaire et à la lutte contre la fraude, inédit en région.

mardi 17 novembre 2015

Lille - hauts-de-france

AGENDA ENTREPRISES

Le 17 novembre à Euratechnologies,
La Banque Populaire du Nord organise les 1ères rencontres régionales Technologies et Innovations :
un évènement dédié à la sécurité bancaire et à la lutte contre la fraude, inédit en région.

Phishing, fraude au président ou encore faux virements comptables : les entreprises françaises sont de plus en plus victimes d’impayés et d’escroquerie. Plus de 400 millions d'euros leur ont été dérobés en quatre ans par le système rôdé de la fraude au président. Artisans, commerçants, TPE, PME ou professions libérales, personne n'est épargné. Face à cette montée en puissance des tentatives d’escroquerie en tous genres, la Banque Populaire du Nord et ses partenaires se mobilisent pour informer et outiller les professionnels et les entreprises de son territoire. Lors des 1ères rencontres régionales Technologies et Innovations, les entrepreneurs auront accès à de nombreux ateliers, conférences, tables rondes et démonstrations de solutions de paiements, de sécurisations des transferts et de gestion des flux financiers.

Cet évènement sera animé par le journaliste Philippe Bloch.

Diplômé de l’ESSEC en 1982, Philippe Bloch anime chaque week-end depuis onze ans sur BFM Business « L’Entreprise BFM » une émission entièrement consacrée à l’esprit d’entreprise dans laquelle il reçoit de nombreuses figures emblématiques de l’entrepreneuriat français. Conférencier et animateur, il a publie cette année son 6e ouvrage « Tout va mal...Je vais bien ! », à mi-chemin entre politique et développement personnel.

« La fraude au président représentait début 2015 plus de 400 millions d’euros de dommages pour les entreprises qui en ont été victimes. Les tentatives –et les réussites- sont désormais quotidiennes. Au départ il s’agissait plutôt de sociétés du CAC 40, parce qu’elles sont plus faciles à cerner par les fraudeurs, mais aujourd’hui les PME et les TPE sont également touchées »



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